LA COLOC :: ARCHIVES :: C'EST FINI... :: RP NON TERMINÉS
Page 1 sur 1 •
noir désir (kaïs)
c'est le bruit. c'est la fusion de vos corps et de vos envies.
lumières tamisées. décor mal rangé. un champs de bataille. tes fringues et les siennes étalées ci et là. la lampe de chevet comme unique phare qui éclaire vos deux visages. vous êtes là. sous ses draps. côte à côte. votre nudité extrême est masquée par le tissu, seul tes seins sont à découverts. ta poitrine adossée au coussin. ta concentration est entière alors que tu effrites l'amnésia sur la tablette. tes doigts fins mélangent le tout avec le tabac de sa cigarette. la feuille est remplie. tu prépares le bon. celui d'après-guerre. d'après la baise. pour détendre vos organes tous mis à l'épreuve. c'était intense. c'était brûlant. chaotique et chancelant. les nuits kaïs. les nuits sauvages. les nuits de fracas. c'est le contact fusionnel de tes lèvres contre les siennes. de vos anatomies préprogrammées à la fusion. vous faites l'amour, vous faites ça brutalement. tu supportes ses coups de reins intarissables et ses caresses sales. tu t'enflammes. kaïs c'est ton spleen. ta farandole de sensations exubérantes. tu es sous son influence. tu fonds sous son regard qui s'intensifie quand il te détaille. tu sens les guêpes qui s'agitent dans ton bas ventre quand il te touche. quand il est avec toi. kaïs est une substance à laquelle tu reconnais être dépendante. vos moments partagés sont sacrés, ils sont uniques, particuliers. il arrive à te faire perdre pieds en trois virgule quatre secondes. il a cet aura qui t'attire, qui te fait ramper. une voix qui fait vibrer ton intérieur. tu es bien avec lui. tu aimes coucher avec lui. c'est frénétique. surréaliste. tu ne veux pas que ça dépérisse. le joint est presque prêt, d'un coup de ta langue tu le colles avant de bien le tasser. le voilà. il est parfait. il est pour lui. tu lui présentes en croisant son regard. ce putain de regard qui embrase tes reins. tu es sous tension. face à sa beauté. face à son charme. cette musculature fine, net, précise. tu sais que c'est que la mi-temps. qu'une fois de plus il va te ravager. tu en as besoin. tu en as envie. tu ressens le désir déjà. tu es chamboulée.
InvitéInvité
Re: noir désir (kaïs)
la nuit j'te vois, la nuit j'adore
Et c’était toujours comme ça avec elle.
Ils s’bouffaient l’coeur, s’bouffaient les reins. C’était juste des gamins.
mado elle était venue, et puis comme d’habitude ça s’était terminé dans sa chambre.
C’était bizarre entre eux, malsain. Mais il aimait ça kaïs, il aimait bien la salir un peu plus ou c’était peut-être elle qui le salissait.
Y’avait rien d’romantique, pas de mot doux, pas d’attention. c’était bestial.
Il lui faisait du mal en lui faisant du bien. Et ils aimaient ça tout les deux.
Il était resté allongé, l’corps encore chaud et un peu engourdis. Ses prunelles brunes fixaient les doigts fins et habiles de la jolie créature, qui s’attelait à effriter la substance sale avec du tabac moitié-prix coupé au goudron. Il pouvait passer la journée comme ça, p’tête même bien la vie. Cloitrés dans une chambre, s’défoncer et baiser.
Elle était belle mado, elle était étrange. Ses longs cils qui roulaient sur ses pommettes un peu rougies et chaudes, son corps qui était presque sien pendant leurs moments et ses lèvres gonflées à force de les avoir malmenées quelques minutes auparavant. Et puis elle lui tendit l’cylindre, leurs regards se croisèrent et il émit un léger sourire en coin. Il savait l’effet qu’il lui produisait, il aimait bien la façon dont elle le regardait.
« dors avec moi cette nuit. »
“dormir“, c’est pas ce qu’ils allaient faire spécialement. Juste une invitation pour qu’elle reste un peu plus, qu’ils se détruisent un peu plus longtemps. et à vrai dire, vu comment ils étaient là, maintenant, ils n’allaient pas se quitter. pas maintenant.
il tâta de sa main contre la table de chevet, à la recherche du briquet flingué pour embraser le bout de son joint. L’odeur s’évapora dans toute la pièce, embrumant légèrement l’endroit. c’était bon, être avec mado c’était bon.
Il se redressa légèrement pour faire passer l’pet’, il voulait la toucher, poser ses mains sur son corps, laisser son parfum sur ses draps. encore et encore.
Mais pour l’instant, il s’contentait d’la dévorer du regard.
Ils s’bouffaient l’coeur, s’bouffaient les reins. C’était juste des gamins.
mado elle était venue, et puis comme d’habitude ça s’était terminé dans sa chambre.
C’était bizarre entre eux, malsain. Mais il aimait ça kaïs, il aimait bien la salir un peu plus ou c’était peut-être elle qui le salissait.
Y’avait rien d’romantique, pas de mot doux, pas d’attention. c’était bestial.
Il lui faisait du mal en lui faisant du bien. Et ils aimaient ça tout les deux.
Il était resté allongé, l’corps encore chaud et un peu engourdis. Ses prunelles brunes fixaient les doigts fins et habiles de la jolie créature, qui s’attelait à effriter la substance sale avec du tabac moitié-prix coupé au goudron. Il pouvait passer la journée comme ça, p’tête même bien la vie. Cloitrés dans une chambre, s’défoncer et baiser.
Elle était belle mado, elle était étrange. Ses longs cils qui roulaient sur ses pommettes un peu rougies et chaudes, son corps qui était presque sien pendant leurs moments et ses lèvres gonflées à force de les avoir malmenées quelques minutes auparavant. Et puis elle lui tendit l’cylindre, leurs regards se croisèrent et il émit un léger sourire en coin. Il savait l’effet qu’il lui produisait, il aimait bien la façon dont elle le regardait.
« dors avec moi cette nuit. »
“dormir“, c’est pas ce qu’ils allaient faire spécialement. Juste une invitation pour qu’elle reste un peu plus, qu’ils se détruisent un peu plus longtemps. et à vrai dire, vu comment ils étaient là, maintenant, ils n’allaient pas se quitter. pas maintenant.
il tâta de sa main contre la table de chevet, à la recherche du briquet flingué pour embraser le bout de son joint. L’odeur s’évapora dans toute la pièce, embrumant légèrement l’endroit. c’était bon, être avec mado c’était bon.
Il se redressa légèrement pour faire passer l’pet’, il voulait la toucher, poser ses mains sur son corps, laisser son parfum sur ses draps. encore et encore.
Mais pour l’instant, il s’contentait d’la dévorer du regard.
InvitéInvité
Sujets similaires
» (KAÏS) Sous les étoiles
» KAÏS & CLEO
» KAÏS & CECE
» faire des sous c'est nécessaire. (kaïs)
» chat noir chat blanc // alaska
» KAÏS & CLEO
» KAÏS & CECE
» faire des sous c'est nécessaire. (kaïs)
» chat noir chat blanc // alaska
LA COLOC :: ARCHIVES :: C'EST FINI... :: RP NON TERMINÉS
Page 1 sur 1
|
|